Tuileaux, 6h55, Jean-Luc, Paul et moi (Marc (B)) partons prendre Jean-François à Péage de Vizille, pour continuer vers le col du Lautaret. Rendez-vous pil’ poil’. Le presque grand beau prévu pour ce matin se laisse désirer. Mes complices finissent par m’avouer qu’en plus il pourrait y avoir du vent. « Si j’aurais su, j’aurais pas v’nu » (« Pti Jibus » dans « La guerre des boutons », film de Yves Robert, 1962, d’après Louis Pergaud, 1912). En prenant de l’altitude, on trouve pas mal de neige, mais qui a pris bcp, bcp, de flotte, comme prévu, mais le soleil, prévu lui aussi, restera très discret jusqu’à notre retour.
Au parking de départ, c’est la patinoire ! Ça rassure pour le regel, mais pas pour la qualité de la descente ! La montée se passe bien, surtout pour mes coéquipiers auxquels j’offre la possibilité de m’attendre (un peu) de temps en temps. Tout se passe « nickel », les bourrasques ne sont pas d’une force extrême et ni trop glaciales. Et le béton sous nos pieds ne risque pas de partir avec nous… si nous descendons avant la fin de l’aprèm ! Je n’accompagne pas JF, JL et P au sommet. Décidément, la grande forme n’arrive pas vite. Ce n’est pourtant pas faute d’essayer.
Dans la descente, qqs passages poudreux, pas mal de passages style patinoire, puis vers la fin, on commence à s’enfoncer sérieusement. Nous sommes à la voiture à 13h00, au bistrot du col à 13h15… et de retour tôt dans l’aprèm.
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