le ski autrement

Auteur/autrice : Jean-François Page 1 of 4

Le Grand Rocher

Le Grand Rocher par grand froid, grand brouillard, pas grande neige mais chaude ambiance au refuge

Aude Véronique G Christine Jean-luc Bernard D Francois Philippe G Jean- Francois

650 m Bera 1

Pas beaucoup de sortie possible au vu d’un BERA 4 le samedi, et de grosses incertitudes pour le dimanche coté Bera.

Finalement sortie dimanche, le BERA sera à 4 à compter de 2100 m et …1 en dessous. Le grand rocher se présente bien … a priori, ce sera la première sortie pour certain. On croit ferme au début de l’anticyclone prédit par toutes les météos et à la petite chute de la nuit.

Départ 8 h des Tuileaux , Skis au pieds au foyer de fond à 9h dans le brouillard. Tout est blanc, mais la quantité reste très minime et très vite on s’inquiète pour la descente entre le chalet de Pierre Roubet et le foyer de fond. Clairement à part à pied, cela ne passe pas.

Montée tranquille en croyant trouver le soleil…. Et ben raté. On dépeaute vite fait et Bernard (comme toujours bien inspiré) propose le retour par le refuge et la descente par la piste du Téléski de la croix. On entame la sortie skating (très adaptée au vu de la météo) non sans se perdre un peu en dessous du crêt Luisard.  Mais Aude veille et nous remet sur le droit chemin avec la trace.

Cela nous permet de lui expliquer la notion de guenille… réservée aux anciens du club, qu’il ne faut pas suivre aveuglément !

On s’arrête au refuge, -10 au thermomètre à l’entrée ! Arrêt bienvenu pour une boisson ou un plat chaud, avec de forts sympathiques bénévoles.

La descente se fera par la piste fermée, excellente sur la première moitié avec 5 cms de poudre sur fond dur. Un rien trop gelée sur le bas. Le choix de la piste était vraiment le bon choix, même s’il nous faudra faire un petit bout de route à pied pour rejoindre la voiture.

Bon choix …sinon on serait descendu par la piste de fond histoire d’amortir le forfait … de skating.

PS Un petit essai radio nous confirme que les formations proposées par Jean Luc sont encore nécessaires … A suivre vendredi 17 !

 

Objectif les Vans plus de choix possible

Grand Van 2445 m D+ 1100 m Bera 3

Marc B Bruno Bernard D Francois Jean-François

Bernard toujours vigilant sur la météo glisse un message sur wattsap lundi soir. Ce n’est pas parce qu’il fait 14 à Meylan qu’il ne va pas neiger cette nuit. Bingo 15- 20 cms de neige nous attendent.

Va pour un départ des tuileaux à 8h30 et un départ de Bachat Boulou, Bernard avait réservé la place qui va bien et qui évite de prendre les 50 m de sens interdit pourtant si tentant.

On monte à la croix à un bon rythme avec plein de jeunes tous habillés pareils. Et on en croisera toute la journée, même au bar de la croix. Autant se le dire pas un chasseur alpin n’était en caserne ce jour… tous aux vans. Deux participants du jour se sont rappelés cette période militaire un rien imposée que les moins de … ans ne peuvent pas connaitre !

Nous voila dans la descente et on profite du vallon des Escombailles depuis de col de la botte dans une neige exceptionnelle. On repeaute au petit lac.

Le premier raidillon au col de Leyssines n’a rien d’agréable pour cause de cailloux … tout partout. Après la montée se passe parfaitement dans une neige qui semble parfaite.

Il nous arrive de doubler qq bidasses, d’en croiser, de se faire doubler mais ils sont tous de bonne humeur.

Au sommet on se regroupe sous les ordres des gradés marc (autoproclamé capitaine) et Bernard organisateur, Francois radio, Bruno éclaireur.

Même si on ne va pas se plaindre …la neige n’est pas si facile à skier avec un fond changeant sous une poudreuse légère.

On repeaute pour la croix et on repose les jambes sur les pistes pour un retour à Bachat Boulou vers 14 h 30.

Un bon enneigement, certes avec qq cailloux et ce depuis 1600 m. Une  belle sortie même si on a croisé beaucoup de monde pour  un mardi !!!

Rocher de Chamoux 1980 m

 

Ludovic, Thomas, Francois, Jean-François

D+ 940 Bera 2

Un peu de motivation collective a été nécessaire pour ce dimanche. Pluie annoncée la nuit, journée grise et qq éclaircies possibles en fin de matinée, vent du sud violent …. Il y avait de quoi refroidir les retraités !

La petite équipe formée vendredi soir à la permanence a trouvé les ressources, boostée par Ludovic et Thomas lors de nos échanges pour se convaincre d’aller dans le Vercors sud et le secteur des rochers du Parquet.

Départ 8h des Tuileaux, quasi à pied d’œuvre à 9h 15.

Une préparation cartographique soignée, Francois et Thomas ont les topos. La radio est bien sûr dans le sac, c’est parti depuis le parking de l’acrobranche plus proche de la patinoire que d’un parking enneigé.

On remonte dans le lit du ruisseau des Pelas… et on rate (enfin je rate) la bifurcation pour le ravin des Chauvines.

Un moment de doute plus haut ,quand la pente se raidit, nous incite à sortir les écrans pour constater qu’on n’est pas sur la trace.

Francois nous informe qu’il a bien pris la radio … pas l’antenne

Le vent du sud se lève

Rien ne va plus !!

Mais non avec flegme, méthode, technicité, organisation on se fait une petite tangente et qq conversions dans le pentu pour retrouver le droit chemin. On remonte jusqu’au pas des Bachassons dans un rien de courant d’air.

On vise le rocher de Chamoux où on est accueilli …ou presque par 3 bouquetins.

Petite descente pour trouver un coin de piquenique un peu protégé du vent.

La descente se fait par le pas de la Selle ou les 50 premiers mètres sont délicats avec qq cailloux. Ensuite une première partie pentue mais agréable avec une neige en train de s’humidifier. Après on passe en mode sanglier mais avec une belle quantité de neige partout après avoir contourné le rocher de la Piche et profité du majestueux mont aiguille au-dessus de nos têtes.

14h 30 à la voiture, 15 h au bar à Gresse pour clôturer la journée. Belle journée, pas que du grand ski certes, de grandioses paysages du Vercors sud

La Scia (la Croix)

Treize à la douzaine pour le solstice à la Scia

Petite affluence à la permanence … grosse affluence aux Tuileaux  et au parking de la combe de l’Ours

Guy propose la Scia , un retour Skitour du jour traduit d’excellentes conditions.

Une fois encore l’alpe  du grand Serre passe à la trappe ! D’ailleurs comme toute proposition qui nous aurait conduit à prendre la route.

Aline, Martine M, Maud, Veronique G, Philippe, Guy, Marc B, Gus B, Pascal, Bernard D, Claude, Matis,  Jean-François

 

Vu les conditions un départ des essarts semblait possible. On se gare sur le parking du télésiege de la combe de l’ours malheureusement bien silencieux. Un peu de monde sans plus mais c’est aussi l’heure de pointe. On part vers 9h30.

Le test DVA est mené de mains de maitre par Guy, récemment recyclé …en DVA bien sûr.

La neige est excellente et abondante, le froid sec, les couleurs du Grand Som sont magnifiques. La station a damé un chemin jusqu’au gite au pied du Bec.

On quitte la montée vers le bec pour rejoindre le téléski qui permet de monter à la croix. On ne connait pas tout le monde … et on se compte souvent, le temps de bien mettre des prénoms sir les visages. La causette va bon train… comme le groupe.

Le groupe se sépare.  6 décident une petite descente dans une neige encore peu trafolée sous le téleski dans une poudreuse (25-30 cm) légère et sans touchettes (ou presque).

On se rejoint à la croix pour la photo … et le picnic vite fait.

Pas très engageant de descendre vers le Bec de la Scia . On entame tous ensemble une très belle descente  via le téléski avec de la super neige de haut en bas , des skieurs au top de haut en bas .

Photo à venir

Jamais gênés par le monde, une météo exceptionnelle, une neige parfaite, La Scia s’est fait désirer ces 2 dernières années. A ne pas rater cette Chartreuse

Crêtes des Plagnes

La première et la dernière

Sylvie, Bernard, Francois, Bruno, Jean Francois

Grosse motivation sur le WhatsApp pour une sortie mardi, même pour ceux qui sont sortis dimanche, lundi …Quelle santé.

Bon, beaucoup de partants en théorie et finalement on se retrouve à 5 pour aller à la Scia, au Grand Serre, … et ben non finalement ce sera les crêtes des plagnes au Collet. Il resterait quelques traces à faire.

Première de la saison pour certain, sous couche incertaine, contrainte horaire de retour nous font opter pour le Collet (la station ouvre demain mercredi), départ Pré rond vers 9h 15.

Prévenus que les randonneurs ne sont pas les bienvenus, on glisse bien sagement sur le coté jusqu’au sommet avant de basculer dans une belle poudreuse et oui il restait de la place.

Bonne neige sans toucher jusque 1700 m en gros pour les plus braves

Un souci matériel empêche Bernard d’aller trop bas, on s’étale un peu pour se retrouver pour le piquenique au sommet du télésiège.

En discutant au sommet avec d’autres randonneurs, Bernard (qui semble connaitre tout le monde …) confirme la fermeture de l’itinéraire balisé pour profiter des combes … Damned !  Ça sent les journées hors de prix : le radar à moretel de mailles (90€), la verbalisation sur les pistes 135 €, la bière à 5 €….

Descente par les pistes sur Pré Rond juste damées pour nous, un régal pour la dernière.

Il va falloir quand trouver une solution pour ne pas se priver de ce coin quand même

Col du Pra

Christine C, Marc, Erwan, Jean-François

Bera 3 (intéressant à lire ce jour notamment vu les chaleurs et l’absence de regel ou presque)

Une partie de la permanence consacrée à la préparation du séjour au Prariond, l’autre à voir comment aller à Belle Étoile. Le choix fut bref, Erwan ne l’avait pas encore fait cette année.

2 puis 4… presque 5 pour un départ à 7h15. Eh oui, l’heure qui n’est pas 7 h (trop tôt pour les travailleurs de la semaine), et pas 7h30 non plus (on n’est pas des guenilles quand même).

La proposition était de partir de Pipay, passer le col des Oudis, remonter le Rocher de l’Évêque par un allègre franchissement… pour finir dans une neige de rêve à la Belle Étoile. ça, c’est le projet.

Départ à 8 h de la voiture, 50 m à faire à pied pour chausser au télésiège, tout se passe au mieux, la descente par la piste de l’Évêque est pas mal. Le  Rocher de l’Évêque à franchir face à nous est peu inspirant avec ses nombreuses coulées, et sa pente un peu raide (35° à vu de nez). D’un commun accord on décide de remonter les vallons du Pra comme quasiment tous les randonneurs du jour… peu nombreux.

Par coquetterie surement, Marc décide de changer de peaux à mi pente… ayant 2 paires dans son sac.

On arrive pas loin du col du Pra (50 m de dénivelé environ) mais la pente et le neige bien trop molle nous incitent au demi-tour.

Une belle descente à faire sa trace dans les vallons (trace dans une moquette très épaisse quand même, entre boulettes et escargots.

On choisit le seul coin venté pour le piquenique, histoire d’avoir quand même un peu froid, avant de remonter au col des Oudis pour un retour vers 13h15 à la voiture.

Belle sortie pour le cadre et l’ambiance, dommage que les vallons du Pra ne soient réservés à la rando…

 

Le Rocher Blanc 2928 m

Erwan, Patrick M, Francois, Jean-Francois

BERA 3

Un peu de monde vendredi soir en raison d’une réunion de préparation d’un séjour ou plutôt du séjour à Saint Colomban.

La bonne nouvelle c’est donc qu’il va neiger sur le secteur rien que par la demande de Paul. En attendant, il faut se gratter la tête pour trouver des sorties sans grand trajet au vu des vacances en cours et d’une neige quasi absente en dessous de 1600.

Erwan propose le Rocher blanc depuis la Martinette passage obligé pour lui chaque année. 3 partants l’accompagnent avec circonspection : gros dénivelé, météo correcte mais sans plus, 500 m de portage au vu du parking à 1120 m.

Eh bien qui ne tente rien n’a rien. Nous on aura juste un peu mal aux jambes !

Départ un peu tardif à 7h 45, et skis sur le sac à 8h 45. On chausse à …1550 m, c’est un peu chaotique au début. On se regroupe au chalet de combe madame pour faire le test Arva, un peu négligé en bas.

Un petit verrou après le refuge nous amène dans un bel espace entre le Bec d’Arguille, le col de la croix et notre objectif qui parait bien lointain le Rocher Blanc.

Quelques rafales épisodiques viennent nous secouer un peu, nous profitons d’une montée longue mais facile dans une bonne neige. Sur le moment, on trouve surprenant le style emprunté de certains descendeurs que l’on croise. On alterne grand bleu, grand vent et un peu de brouillard.

Notre grande sagesse, nous conduit à s’arrêter150 ou 200 m sous le sommet pour éviter un vent de sud qui semble forcir.

A la descente, on comprend vite que tout ne sera pas parfait : voile de carton sur la poudreuse, visibilité aléatoire. Tous, sauf pour Erwan qui testait ce jour ses nouveaux Scott tout beaux tout neufs. Même pas une rayure en bas !

On s’arrête au chalet de Combe Madame pour se restaurer dans une belle ambiance de randonneurs qui partent restent pour dormir ou sont de passage comme nous.

Re 500 m à pied et nous voilà à 16 h à la voiture.

Grosse journée, petite équipe qui s’est adapté à un parcours long mais qui mérite le détour.

Petit Arc 2365 m

Patrick M Jean-François

1150 D+ Bera 1-2

Le Grand Arc vu du Petit Arc

Lors d’une tumultueuse réunion pour un mardi soir, plusieurs sorties sont proposées. Avec Patrick, nous décidons de partir sur Petit Arc … en groupe réduit. Les sirènes de Brouffier (ou peut être les arêtes) avaient frappées et enchantées 4 skieurs.

Départ 8 h des Tuileaux, on se dit c’est peut-être un peu tard … mais comme il n’avait pas gelé cela ne change pas grand-chose au final.  80 kms plus loin, 9h15 on se gare à Tioulevé. Il y a 5 voitures tout au plus

On prend au passage 2 sympathiques jeunes stoppeurs au pied de Montsapey partis pour 3 jours dans la Lauziere… le temps de chausser, ils étaient déjà loin. Bon quand je dis chausser, je veux parler des chaussures, pour les skis ce sera ¾ h plus tard. Le parking a des airs de printemps. On se fourvoie en peu au départ pour une marche en bordure de ruisseau en suivant une trace mais on retrouve vite le chemin du sentier découverte et une bonne neige d’abord bien mouillée, puis bien dense, et enfin bien légère tout au long de la montée. Mélange de grosse chaleur quand le soleil sort et de douceur tout confort en son absence.

 L’itinéraire est classique pas de chèvres, lac noir, puis montée plein ouest pour rejoindre la crête et le sommet.

Descente excellente sur les 500 premiers mètres, très bonne ensuite. Seulement une dizaine de skieurs nous ont précédés ce qui permet de passer sans problème et sans toucher. Un peu de « sanglier » avant de rejoindre le chemin et ¼ de marche pour rejoindre le parking en marchant … dans l’herbe ou les feuilles.

Un peu de fraicheur serait la bienvenue !

 

Le Jas des Lievres 2325 m (2/2/24)

Martine Marc Jean-François

1100 m Itinéraire face sud

En résumé : « contents »

Après le raté de Cheval noir, il en faut plus pour décourager Marc. On s’ajuste sur moins loin, plein sud et si possible avec de la neige. 

Malgré les conditions actuelles très stables, il faut choisir son jour sans-papiers nuage pour éviter d’être dans le dur… sur le dur.

Depuis leur enfance ou presque Martine et Marc rêvaient de monter au jas des lièvres. Ce n’est pas faute d’y passer devant tant de fois et pour Marc de dormir au pied à chaque séjour au Habert, ils ne l’avaient jamais fait.

Départ 8h15 aux Tuileaux pour être en haut pas trop tôt, pas trop tard. Un Bera à 1-2 rassurant pour la grande partie au-dessus du habert qui flirte au-dessus des 30 sur 500 m de dénivelé.

Stationnement raisonnable sur le parking (qq impatients se garent déjà au pont de la Betta) avec chaussage à la prise d’eau… il faut donc porter environ 3/4h. un peu de monde sans plus, certains ont peut-être déjà rangé le matériel.

Le Border agréable à la montée, pas folichon à la descente pour le bruit des skis sur une neige bien dure mais sans personne ça passe.

A défaut de pouvoir attaquer dès le Habert on monte dans le vallon du Vénétier pour prendre ensuite plein ouest à 1900m et se retrouver dans la grande face sud que nous descendrons ensuite.

On met les couteaux pour le confort et restons groupés, appliqués, dynamiques, … et contents d’arriver au sommet. Une grande plateforme, une vue à 360. Un pique-nique rapide, un brin de causette sur l’écriture inclusive avec un jeune randonneur (eh oui drôle de sujet … pour cet endroit). 12h 15 en haut, le bon timing pour la descente.

Un peu de pente, on ne s’enfonce pas, super descente jusqu’au border. On le descend prudemment entre qq plaques de glace et les cailloux. On y passe un peu de temps.

Arrivé en bas Marc est content, à la voiture il nous dit être content … et le répète en arrivant aux Tuileaux…. Et ben il a bien raison pour cette première pour nous trois !

Col de la petite Vaudaine

Aline, Jean-Michel, Loïc, Jean-François

1450m BERA 3, le col à 2370m

Un dimanche à Chamrousse par beau temps en hiver…

Formation DVA samedi, séjour au habert d’Aiguebelle en cours… restera-t-il des skieurs pour ce we.

On peut toujours compter sur Jean-Michel !

Il propose le col de la petite Vaudaine pour dimanche. Départ 8h aux tuileaux, à Skis depuis Casserousse 8h45. Le bon timing, même si on doit bien le reconnaitre le départ du bas de la piste ressemblait plus au Grenoble-Vizille, qu’une balade contemplative du dimanche.

Et puis plus grand monde quand on bifurque par les Pourettes et la brèche Nord, et encore moins quand on s’éloigne des lacs Robert. Certes pas facile de faire sa trace tout au long de la journée, mais Jean-Michel avait flairé le bon plan.

Montée depuis Casserousse sans déchausser et quasi sans couteaux pour tous dans une bonne neige. Au pied du couloir de l’échaillon on choisit le confort des couteaux pour les 2 ou 3 conversions plus délicates.

Arrivés au sommet du couloir, je pense avoir eu des hallucinations. Jean Michel nous informe qu’à sa montre on fait du 600 m/h… je regarde l’heure il est 12 h … ça ne le fait pas ! on n’est pas à 3200 mais plutôt 2300 !!

 Bon il s’agissait a priori de la mesure de la toute dernière portion.

Arrivée au col (2370) vers 12h 45, pour un pique-nique à quatre au sommet et une personne un peu plus loin. On se croirait en semaine.

Très bonne descente, même si on aurait aimé le tout en poudreuse plus légère.

Arrivée en bas de l’Echaillon, il reste 300 m de dénivelé et qq kms pour joindre le couloir de Casserousse également en bonne neige (avec bien  sûr qq cailloux , on est à Chambrousse !)

Arrivée à la voiture à 15h 30 environ.

Connue  pour ses qq longueurs est une super ballade, cette petite Vaudaine nous a permis de passer une belle journée sans personne sous un beau soleil à partir de 12h.

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