Martine, Bernard, Eric et moi (Marc B.)

Trois habitués des lieux pour accompagner la découverte par Martine de cette arlésienne, le Montfromage. Rdv aux Tuileaux à 9:15. Route noire jusqu’au col de Porte, plus sale sur la boucle du parking. Arrivés sans gros effort à la crête, alors que la météo était annoncée « très nuageuse », nous avons cru un moment que nous continuerions au soleil. Nous avons même vu nos ombres plusieurs fois quelques secondes ! Sur la crête, les 2 passages parfois un peu désagréables étaient en bonnes conditions. A la bosse qui semble être « officiellement » le Montfromage, nous avons interviewé un skieur qui nous a montré où passer une autre fois pour la descente directe. Pour cette fois-ci nous sommes restés sur la boucle AOC Montfromage-MSR, en continuant jusqu’au sommet du télésiège, et un tout petit peu plus loin (point coté 1696), promontoire de départ de tricotages en versant W connus de Bernard. Ça aussi, ce sera pour une autre fois. Aujourd’hui, on reste classique. J’ai malgré tout proposé de démarrer dès le haut, dans les arbres, 20m à droite de la descente sur l’ancienne piste, conformément à une trace GPX transmise par Carine. Disons que nous n’étions pas tout à fait au niveau pour en profiter, et nous sommes vite revenus sur la trace habituelle, avons traversé la route du Charmant Som et continué jusqu’au départ du télésiège désaffecté, ou plutôt 50 m avant d’atteindre le ruisseau qui vient de la prairie du col de Porte. Nous avons repeauté et pris le chemin qui surplombe celui-ci de 10m à l’W. Bonne pioche ! On évite ainsi les multiples complications du fond du vallon lorsque la neige n’est pas suffisamment accumulée. 400m + loin (50m après le vieux poste transformateur) on descend dans le fond pour terminer la remontée vers le téléski, puis de là le retour au parking.