Aline, J-François, Marc B. – 1100mD+

Fallait pas laisser passer l’anticyclone avec sa neige bien vieille et ne commençant qu’assez haut mais en bonne quantité, et un soleil bien agréable. Nous avons donc repris, 3 jours plus tard, la direction du vallon de Vénetier. C’était encore un/le bon plan. Seule la composante féminine de l’équipe a changé : tout aussi agréable et impeccable.

La probable affluence du week-end n’a pas radicalement changé la donne. Le tronçon à pied n’a pas augmenté. Nous avons trouvé le soleil 100mD+ après le refuge, mais cette fois-ci nous n’avons pas bifurqué vers le Jas des Lièvres.

Pour Marc, petite piqure de rappel…

« On n’attend pas le dernier moment pour mettre les couteaux ;
et on est un peu attentif si l’on doit les mettre dans la pente !
« 

Vous avez compris, j’ai lâché un couteau que j’ai dû redescendre chercher 50 à 100mD plus bas ! Avertissement sans frais, J-François l’a soigneusement suivi des yeux et je l’ai retrouvé sans problème. Mais la double sentence était bien là : le dénivelé à remonter et l’opprobre générale. En fait non, mes camarades ont été bienveillants !

Passés les lacs de Vénetier, nous avons choisi la belle trace à gauche (W) vers le col de la Jasse.

J-François au dessus de la mer de nuages sur le Grésivaudan

Celui-ci atteint, nous avons poursuivi un peu vers la Bédina Blanche pour choisir des pentes un peu mieux décaillées.

Aline, à une encablure de la Dent Blanche de la Bédina

Mais avec un peu de vent frais, la transformation n’était pas impeccable : moquette à poils variables (c’est tout nouveau, ça vient de sortir !), mais belle descente quand même jusqu’au Bordercross, que nous avons trouvé « pas pire ». Y a bien eu un pique-nique aussi, mais écourté pour cause de rendez-vous au retour.

Conclusion : avec le départ du parking d’hiver de l’Olagnerie (1220m) et à nos ages (je veux dire de JF et moi), la Cime de la Jasse (2478m), c’est pas donné ! Incompatible avec un rendez-vous à Meylan en milieu d’aprem.