le ski autrement

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Compte rendu d’une sortie à la journée

Le Jas des Lievres 2325 m (2/2/24)

Martine Marc Jean-François

1100 m Itinéraire face sud

En résumé : « contents »

Après le raté de Cheval noir, il en faut plus pour décourager Marc. On s’ajuste sur moins loin, plein sud et si possible avec de la neige. 

Malgré les conditions actuelles très stables, il faut choisir son jour sans-papiers nuage pour éviter d’être dans le dur… sur le dur.

Depuis leur enfance ou presque Martine et Marc rêvaient de monter au jas des lièvres. Ce n’est pas faute d’y passer devant tant de fois et pour Marc de dormir au pied à chaque séjour au Habert, ils ne l’avaient jamais fait.

Départ 8h15 aux Tuileaux pour être en haut pas trop tôt, pas trop tard. Un Bera à 1-2 rassurant pour la grande partie au-dessus du habert qui flirte au-dessus des 30 sur 500 m de dénivelé.

Stationnement raisonnable sur le parking (qq impatients se garent déjà au pont de la Betta) avec chaussage à la prise d’eau… il faut donc porter environ 3/4h. un peu de monde sans plus, certains ont peut-être déjà rangé le matériel.

Le Border agréable à la montée, pas folichon à la descente pour le bruit des skis sur une neige bien dure mais sans personne ça passe.

A défaut de pouvoir attaquer dès le Habert on monte dans le vallon du Vénétier pour prendre ensuite plein ouest à 1900m et se retrouver dans la grande face sud que nous descendrons ensuite.

On met les couteaux pour le confort et restons groupés, appliqués, dynamiques, … et contents d’arriver au sommet. Une grande plateforme, une vue à 360. Un pique-nique rapide, un brin de causette sur l’écriture inclusive avec un jeune randonneur (eh oui drôle de sujet … pour cet endroit). 12h 15 en haut, le bon timing pour la descente.

Un peu de pente, on ne s’enfonce pas, super descente jusqu’au border. On le descend prudemment entre qq plaques de glace et les cailloux. On y passe un peu de temps.

Arrivé en bas Marc est content, à la voiture il nous dit être content … et le répète en arrivant aux Tuileaux…. Et ben il a bien raison pour cette première pour nous trois !

Chou blanc au Cheval Noir (31/01/2024) – « si j’aurais su, j’aurais pas v’nu » *

* P’tit J-bus, dans La guerre des boutons, roman (1912) de Louis Pergaud et film (1962) de Yves Robert.

Jean-Luc et Marc B.

Hier mardi à la permanence, j’ai proposé cet objectif espérant rentabiliser le trajet avec une voiture pleine, mais seul Jean-Luc a été intéressé, pour découvrir un coin encore inconnu pour lui. Il m’a fait confiance quand j’ai vendu l’affaire en disant que oui, St François-Longchamp, c’est loin, mais il y aurait de la neige et que ça décaillerait bien vu qu’après le col du Cheval Noir, la suite est exposée plein sud.

Partis de Montbonnot à 9h, nous Démarrions vers 10h30, mais première déconvenue, la partie en station est un peu longue. La neige (en dehors des pistes, car on est comme ça), c’était un peu du carrelage ! Quand nous sommes enfin sortis du domaine des pistes, le soleil était bien voilé et la transformation du carrelage en moquette, c’était pas gagné. Quand la pente s’accentue au détour par le nord du Roc Blanc, la neige nous a semblé nous promettre une descente pourrie : soit la croute cède et nous allons galérer pour tourner ; soit ça reste béton et dans la pente juste au dessous du col, nous ne serons pas plus fiers que ça !

Nous replions donc les gaules sans autre forme de procès et rejoignons les pistes au plus facile. Jean-Luc part bientôt dans le Queyras en séjour et moi, j’ai bien tourné ces derniers temps, donc ça a été une sortie dispendieuse et à oublier. Nous sommes rentrés sans bobo et toujours copains. C’est l’essentiel, non ?

Rochers Motas ou presque (28 01 2024)

par Aline.

Jean-François, Christine Chatellard, Ludovic, Sébastien et Aline

A la permanence de vendredi, le choix de la sortie se fait facilement grâce au compte-rendu de Carine. Les conditions de neige n’étant pas extras ces derniers temps, des conditions quasi de printemps, on opte à priori pour les Rochers Motas. On est 5, bon nombre pour remplir à bloc la voiture de Jean-François.

Un départ classique à 8h de Meylan. A 9h, il y a déjà pas mal de monde au parking du Collet.

Ouf, on peut chausser dès le début de la route sur laquelle il y aura 1 ou 2 passages à franchir à pied. La neige a bien fondu sur ces versants sud. Les couteaux s’avèrent rapidement nécessaires pour prendre les raccourcis (comme dit Carine), couper les lacets de la route. Jean-François, leader malgré lui, nous montre où se trouvent les Rochers Motas pour rassurer ses troupes, qui ne l’ont jamais fait. Ça va, ça a l’air à notre portée. Prudent, Jean-François nous fait bifurquer vers notre objectif un peu plus loin que normalement, par crainte que l’on ait à skier sur d’anciennes coulées. Pas de souci ! On n’est pas à 5 mn.

La montée jusqu’au Collu (ou col sans nom) se fait sans problème. Un hélico venu évacuer un.e blessé.e d’un genou, d’un autre groupe fait  une petite diversion ou inquiétude. A l’unanimité, on renonce à la pente qui mène au sommet (100 m de déniv.) car elle ne nous semble pas valoir le coup, étant bien glacée. La vue du Collu est déjà bien sympa ; on voit le Saint-Eynard et Belledonne d’un côté et les beaux mamelons blancs de l’autre. On décide de descendre sans tarder pour pique-niquer plus bas où il fera encore meilleur.

La neige a bien ramolli, un peu lourde sur le haut mais devient beaucoup plus facile rapidement,  style « moquette » et ce jusqu’au parking ! Il faudra juste faire attention à ne pas déchirer la doudoune sur les ronces qui parsèment les champs encore enneigés.

Conclusion : tout le monde est content ; une rando bien agréable par grand beau et doux, une neige très correcte et un groupe homogène (les nouveaux ont bien assuré !), très convivial. Dommage, qu’il n’y ait pas eu le temps pour la bière en terrasse, la faute au timing d’Aline !

 

Col du Sabot

Carine, François, Jean-Luc et Philippe B.

Tempête de ciel bleu sur l’Oisans, on y va … ou presque. Eh oui, la carte Visa Super Gold de Jean-Luc lui permet de traverser l’Atlantique mais pas de remplir son réservoir de diesel à la pompe pour nous amener jusque Vaujany. On a failli faire du ski de randonnée sur la rocade ! Heureusement, la carte Visa Bleue de François nous a sauvés.

On arrive un peu plus tard que prévu pour que Jean-Luc et Philippe tentent les rochers Motas. Super, on ira tous ensemble au col du Sabot. Il fait 2 degrés sur le parking, la neige est gelée et on sort vite les couteaux sauf Philippe qui randonne super léger et les a laissés chez lui. Il prend l’option de suivre la route au pas de course version ski de rando et arrivera toujours avant nous qui prenons les raccourcis. Jean-Luc prend tellement les raccourcis qu’il piquera une tête dans un ruisselet. Plus de peur que de mal, ouf. Carine a 2 chevaliers servants qui lui mettent et lui enlèvent ses couteaux selon son humeur. Merci encore à eux. On a le choix entre toutes les traces de montée et on se fait un petit mix de toutes avec pleins de souvenirs associés à chaque versant parcouru. Carine s’essaie à quelques conversions afin d’être prête pour le séjour dans le Queyras où elle sera entourée de pros. Ses 3 acolytes ont à peu près le même discours sur la technique des conversions (à part le planté du bâton).

Pique-nique sur une des bosses du col du Sabot puis 13 h sonne le début de la descente sur une moquette de rêve. Vous y avez cru ? Nous aussi. 

On a chacun notre version sur la qualité de la neige. Comme c’est moi qui écrit le CR et que je ne suis tombée qu’une fois (!), je dirais que c’était vraiment bien avec du bon, du moins bon mais surtout pas du glacé ou du qui fait du bruit.

Comme d’habitude, on a terminé cette belle journée en terrasse.

Col de la petite Vaudaine

Aline, Jean-Michel, Loïc, Jean-François

1450m BERA 3, le col à 2370m

Un dimanche à Chamrousse par beau temps en hiver…

Formation DVA samedi, séjour au habert d’Aiguebelle en cours… restera-t-il des skieurs pour ce we.

On peut toujours compter sur Jean-Michel !

Il propose le col de la petite Vaudaine pour dimanche. Départ 8h aux tuileaux, à Skis depuis Casserousse 8h45. Le bon timing, même si on doit bien le reconnaitre le départ du bas de la piste ressemblait plus au Grenoble-Vizille, qu’une balade contemplative du dimanche.

Et puis plus grand monde quand on bifurque par les Pourettes et la brèche Nord, et encore moins quand on s’éloigne des lacs Robert. Certes pas facile de faire sa trace tout au long de la journée, mais Jean-Michel avait flairé le bon plan.

Montée depuis Casserousse sans déchausser et quasi sans couteaux pour tous dans une bonne neige. Au pied du couloir de l’échaillon on choisit le confort des couteaux pour les 2 ou 3 conversions plus délicates.

Arrivés au sommet du couloir, je pense avoir eu des hallucinations. Jean Michel nous informe qu’à sa montre on fait du 600 m/h… je regarde l’heure il est 12 h … ça ne le fait pas ! on n’est pas à 3200 mais plutôt 2300 !!

 Bon il s’agissait a priori de la mesure de la toute dernière portion.

Arrivée au col (2370) vers 12h 45, pour un pique-nique à quatre au sommet et une personne un peu plus loin. On se croirait en semaine.

Très bonne descente, même si on aurait aimé le tout en poudreuse plus légère.

Arrivée en bas de l’Echaillon, il reste 300 m de dénivelé et qq kms pour joindre le couloir de Casserousse également en bonne neige (avec bien  sûr qq cailloux , on est à Chambrousse !)

Arrivée à la voiture à 15h 30 environ.

Connue  pour ses qq longueurs est une super ballade, cette petite Vaudaine nous a permis de passer une belle journée sans personne sous un beau soleil à partir de 12h.

Le Tabor Matheysin

970m – Belle météo, BERA 2

Christine J, Edwige, Christine C , Jean Luc, Thierry, Didier, Brett, Jean-François

Le temps des premières

Départ 8h00 des Tuileaux, 45 mn de route pour rejoindre Saint Honoré

Il faut profiter de la neige tombée et d’un soleil généreux. Ma grenouille me dit que ça se gâte semaine prochaine

Déjà un monde incroyable à la permanence, une première pour un vendredi de janvier… certes avec qq bricoles à grignoter. Merci Christine et Guy pour l’organisation. Parmi les présents, il  se décide une sortie le samedi, pour le (petit) Tabor de la (grande) Matheysine, bien aidés par un CR  élogieux de Skitour .

Première pour Didier et Edwige dans le sud isérois plus habitués au nord Belledonne

Première de la saison pour Brett et Jean Luc et Christine

Premières conversions (bien réussies) pour Thierry qui essayait enfin son matériel en vraies conditions…

Du brouillard à Pierre Chatel, mais très vite on retrouve le soleil pour  un départ vers 9h15.

La montée se passe à l’ombre mais dans une excellente neige sur un chemin facile jusqu’au lac de Charlet, sans glace, ce ne sera pas la première pour les couteaux ce samedi.

On remonte le vallon en voyant déjà où nous pourrons faire notre trace en descente même s’il y a un peu de monde. Une montée jusqu’au sommet sans glace, sans cailloux, ce qui est rare.

Un arrêt pique-nique non sans avoir faut qq virages dans une belle poudreuse. Super descente jusqu’au col… Là s’arrête le coté idyllique de la sortie…

On se dit que ce vallon qui évite de prendre le chemin, ça va être top. Mauvaise pioche ! sauf pour les réparateurs de semelles sur la partie médiane… bien enneigée mais sans sous couche.

Cela n’altère pas la bonne humeur générale au retour aux voitures vers 14 h

 

Col du Sifflet – 12/01/2024

1000m – Belle météo, stable , BERA 2

Sylvie, Bernard, Marc B, Richard, Jean François

Proposition  de la permanence  du mardi d’aller vers le pas de la coche et d’aviser selon l’état de forme, la neige.

Départ 8h30 des Tuileaux, pour être vers 9h à Prabert.

Voiture bien remplie à 5 , sous réserve de récupérer les bâtons toujours trop grands  pour le coffre à l’intérieur.

Presque un voyage sans histoire… c’était sans compter sur la route bloquée par les gendarmes qui chainaient leur fourgon. On a poireauté 30 minutes… mais faut bien des rtt pour tout le monde, on ne les a même pas invectivé au passage ! Du coup on est parti de la voiture vers 9h 45

Autant dire qu’il y avait du monde … beaucoup.

 Après un bordercross parfait tout le monde s’éparpille. Le coté pas de la Coche n’est pas le plus prisé restant à l’ombre. Ce qui fut parfait pour conserver une poudreuse légère et (presque ) faire sa trace. On se fait doubler par Philippe D et on a même senti le courant d’air quand son fils est passé 2 fois (nous on a eu le temps de n’en faire qu’une ….)

La stabilité du manteau neigeux nous a permis de monter en laissant le pas de la Coche sur la gauche dans un vallon un peu plus raide (30-35) et rejoindre un passage pour accéder au col du Sifflet (ou du moins s’en approcher). Une vue exceptionnelle de proximité sur Belledonne et en arrière plan l’Oisans.

Petite bise un peu fraiche pour le pique nique avant une descente magique jusqu’au Habert d’Aiguebelle. Bordercross à l’ombre resté quasiment sans pierre. Retour à la voiture vers 14 h.

La montée au col du Sifflet en court-circuitant le Pas de la Coche certes plus courte que la Jasse ou l’Aigleton, reste agréable car moins fréquentée mais nécessite de bonnes conditions.

 

 

Grand Rocher – 11/01/2024

Patrick Rouzelens et moi (Marc B.)

Dès la permanence de mardi, nous avions pris rendez-vous Patrick et moi, pour profiter des conditions annoncées pour ce jeudi à 9h précises ! Personne ne nous a contacté pour se joindre à nous. Tant pis pour les absents, comme souvent, ils ont eu tort. Pendant le trajet, le ciel ne s’est pas dégagé, mais grand bleu au parking du foyer de ski de fond. Étant donnée l’orientation W, nous sommes restés à l’ombre une bonne partie de la montée, mais la neige aussi qui est restée froide et légère. De nombreux groupes de plusieurs dizaines de raquetteurs semblaient s’être donné rendez-vous. Raison de plus pour ne pas nous précipiter tout de suite au sommet (1926m), et pour déchausser au sommet précédent (1914m) pour descendre plein W sur 100mD-, un champs de poudreuse peu trafollée. Exceptionnel… (mais ambiance glaciale pour repeauter).

On monte alors braver la foule au sommet. Pour descendre, on passe de nouveau au sommet 1914 pour descendre son versant Nord, excellent et un peu moins tracé. Neige de rêve jusqu’au rapide arrêt pique nique à mi-pente au soleil. Retour sans encombres à la voiture.

C’était la première fois que nous skiions ensemble, Patrick et moi, et c’était vraiment cool.

Mt Fromage (Toujours !) – 10/01/2024

Martine, Bernard, Eric et moi (Marc B.)

Trois habitués des lieux pour accompagner la découverte par Martine de cette arlésienne, le Montfromage. Rdv aux Tuileaux à 9:15. Route noire jusqu’au col de Porte, plus sale sur la boucle du parking. Arrivés sans gros effort à la crête, alors que la météo était annoncée « très nuageuse », nous avons cru un moment que nous continuerions au soleil. Nous avons même vu nos ombres plusieurs fois quelques secondes ! Sur la crête, les 2 passages parfois un peu désagréables étaient en bonnes conditions. A la bosse qui semble être « officiellement » le Montfromage, nous avons interviewé un skieur qui nous a montré où passer une autre fois pour la descente directe. Pour cette fois-ci nous sommes restés sur la boucle AOC Montfromage-MSR, en continuant jusqu’au sommet du télésiège, et un tout petit peu plus loin (point coté 1696), promontoire de départ de tricotages en versant W connus de Bernard. Ça aussi, ce sera pour une autre fois. Aujourd’hui, on reste classique. J’ai malgré tout proposé de démarrer dès le haut, dans les arbres, 20m à droite de la descente sur l’ancienne piste, conformément à une trace GPX transmise par Carine. Disons que nous n’étions pas tout à fait au niveau pour en profiter, et nous sommes vite revenus sur la trace habituelle, avons traversé la route du Charmant Som et continué jusqu’au départ du télésiège désaffecté, ou plutôt 50 m avant d’atteindre le ruisseau qui vient de la prairie du col de Porte. Nous avons repeauté et pris le chemin qui surplombe celui-ci de 10m à l’W. Bonne pioche ! On évite ainsi les multiples complications du fond du vallon lorsque la neige n’est pas suffisamment accumulée. 400m + loin (50m après le vieux poste transformateur) on descend dans le fond pour terminer la remontée vers le téléski, puis de là le retour au parking.

Mt Fromage (Encore !!!) – 7/1/2024

Matis, Sébastien, Richard et moi (Marc B.)

Météo peu engageante ce week-end et session DVA hier samedi pour certains, il fallait donc toute la motivation de Matis et Sébastien pour monter un projet de sortie ce dimanche. Patrick M., tenté un moment, a jeté l’éponge en ouvrant l’œil ce matin. En fait, on le comprenait bien au départ des Tuileaux, mais en fait il a eu tort ! Route un peu sale à partir du Sappey et arrivée délicate au parking du col de Porte. Le vent qui y souffle nous inquiète un peu. Bonne surprise, dès que l’on entre dans la forêt on ne le sent plus du tout, et surtout on ne le retrouvera pas sur la crête, mais seulement au retour au parking ! Superbe montée jusqu’au col puis à la bosse du Mont Fromage et enfin en haut de l’ancienne piste. La descente est en excellente neige jusqu’à la route, traffollée mais légère. Ça démange Matis de s’écarter sur la droite et je le suis. C’est très bon, mais il faut faire un peu d’attention et bien mettre les deux skis du même côté de chaque arbre ! Arrivé à la route, Matis nous dit qu’il est attendu pour le repas de midi. Il ne reste donc plus qu’à se laisser glisser, au lieu de vouloir faire le malin comme moi et se gameller sur même pas une piste… verte ! On aura peut-être la photo de ce traitre de Matis !

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