le ski autrement

Catégorie : Saisons de ski Page 3 of 7

la liste des courses réalisées par le club

La cime de la Jasse 2478 (ou presque…)

À la permanence d’hier, certains ne pouvaient envisager une balade pour aujourd’hui puisqu’ils étaient de séance DVA-Anena… Les autres, dont moi, nous n’étions pas très décidés, ne voulant pas nous déplacer trop loin, n’étant pas disponibles tôt, un peu circonspect sur l’état de la neige… Et pourtant les prévisions météo et BeRA étaient idéales. Heureusement, Jean-François a téléphoné à la permanence MSR (07 68 00 11 09) pour secouer tout ça ! On a programmé une montée à partir de Prabert.

Une fois les grasses matinées de chacun menées à leurs termes, nous nous sommes retrouvés au pré de l’eau à 9:30, Patrick, Denis, Jean-François et moi (Marc (B)). Départ tardif, oui, mais pile à l’heure prévue, avec un soleil légèrement voilé. On monte en voiture jusqu’au parking du pont de la Betta (heureusement que c’est jeudi). Mais les derniers mètres sont dignes de la patinoire Pôle Sud à Grenoble… mais un peu plus en pente ! Je finis par garer la voiture tant bien que mal. Vers 10:15 nous démarrons gentiment mais à l’ombre comme d’hab. dans ce goulet très abrité. La montée avant la prise d’eau est vraiment pas top. Après ça va mieux, mais ça laisse présager une fin de descente « glace+cailloux ». On est content lorsque ça s’élargit et encore mieux lorsque l’on rattrape le soleil désormais débarrassé de son voile. Très agréable montée aux lacs de Vénetier. Arrivés là, Denis et moi -modestes- nous nous arrêtons, et laissons Jean-François et Patrick se faire mousser en allant au sommet, soit encore 3/4h (Bravo à eux !). Après un casse-croûte rapide D. et moi commençons une bien agréable descente en neige un peu dure mais pas trop, puis nous allons nous mettre au chaud au habert d’Aiguebelle où la gardienne nous accueille très agréablement avec son (horrible mais gentil) petit chien et son adorable petite fille. Quand nous commençons à penser que J-F et P sont déjà passés, nous prenons congé… et tombons sur eux à la sortie du chalet !

Comme prévu, la descente à la voiture n’est pas terrible du tout. Et encore le chemin a-t-il été bien amélioré pour évacuer les arbres cassés par une grosse avalanche l’an dernier, et les traces du scooter à chenilles du refuge facilitent un peu les choses. Mais les cailloux affleurent quand même par endroits. Nous arrivons sains et saufs à la voiture. Je me suis quand même pris une belle gamelle sur la patinoire à 10 mètres de la voiture, mais, par chance, sans dégâts. Retour au pré de l’eau un peu avant 16:30.

Belle journée, mais pour les photos… c’est encore pas ça !

Crête du Brouffier (2434 m)

Dimanche 7 janvier 2020

Paul J., Philippe G. , Philippe B., Aline

Quelques hésitations au départ : a-t-on fait le bon choix ? Ne vallait-il pas mieux aller sur un versant Sud pour avoir de la meilleure neige ? Mais surtout sur la route de la Morte, va-t-on être au-dessus des nuages ou dans le brouillard ? Souvenir de ma 1ère rando avec MSR : Crête du Brouffier dans la purée de pois, le coordinateur de la sortie (Paul J.) avait pris alors la sage décision de renoncer à aller au sommet.

Mais dimanche notre bonne étoile était là ; nous sommes au-dessus des nuages dès le départ, à 1550 (100 m plus haut que le topo) et on peut chausser les skis tout de suite, en suivant la route au début qui est bien enneigée contrairement à la forêt.

A la sortie de la forêt, vue magnifique sur la mer de nuages avec les sommets du Trièves et du Vercors en icebergs. La neige est un peu dure, certains mettront les couteaux  sur un court passage. Pas mal de randonneurs et racketteurs éparpillés sur la croupe ensoleillée.

La dernière partie très peu pentue nous amène tranquillement au sommet de la crête où un vent frisquet fait voler les supports de peaux. On se met en contrebas, dans un creux à l’abri, face au soleil ardent pour pique-niquer. Le coin est très confortable et insolite, on se croirait sur la plage (voir une des photos jointe).

La descente, même si la neige est un peu glacée par endroit, est facile, on peut se lâcher même dans le « Border cross » (langage de d’jeun d’après Philippe G. et Paul) ! Et on garde le soleil jusqu’à la voiture.

En résumé, une sortie tout plaisir !!! Et Philippe B. et moi, sommes ravis d’avoir fait pour la 1ère fois à ski cette rando très sympa jusqu’au bout !

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Grand Rocher

Jeudi 12 décembre 2019

Catherine, Sylvie, Carine, Paul , Philippe G, Bruno, Marc B, Jean-luc, Cheick, Jean- Francois

Niveau de neige incertain à basse altitude,    BRA pas encore disponible, Chamrousse ouvert, du coup  la proposition du Grand Rocher fait l’unanimité pour une sortie annoncée sous le soleil.

Départ du Pré de l’eau à 8 h 30. Le parking est en travaux et en semaine il y a du monde dans ce coin.

A partir du col du Barioz, la route est fraichement dégagée jusqu’au foyer de ski de fond  (qui semble ouvrir cette fin de semaine). Ce sera le point de départ. Un départ du col n’est pas possible faute de neige.

Après… que du bonheur entre soleil généreux , sapins sous le soleil à la montée, vue imprenable , neige fraiche entre 20 et 40 cm .

Il y a bien sur l’épreuve de début de saison du dépeautage –  repeautage pour les gourmands que nous sommes de vouloir profiter de faire sa trace en dessous du grand Rocher. Quelques péripéties dans le groupe pour cet exercice … çà sent le début de saison. Mais il convient de rappeler que les peaux c’est sous les 2 skis et qu’elles sont utilisées pour toutes les montées.

On peut  a priori ranger les skis cailloux !

Cette descente en groupe à faire sa trace … super. 2 fois c’était un minimum.

Le temps d’un pique nique et retour aux voitures vers 14 h

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Col du Sabot

7 décembre 2019

Le temps n’était pas annoncé comme étant merveilleux, mais « qui écoute la météo ne quitte pas le bistrot », donc nous étions 6 prêts à braver les éléments: Carine, Catherine, François, Guy, Matis le petit nouveau, et Paul l’initiateur/coordinateur/expert. Départ à 8h30 parce qu’on est pas des violents, et on monte à Vaujany sous un ciel radieux. Tellement radieux d’ailleurs, et ce depuis plusieurs jours, qu’il y a très peu de neige au niveau du parking de Villette. Mais on chausse quand même, très vite cela s’améliore et on monte dans un soleil chaud pour la saison. Au col du Sabot le vent est plutôt frisquet, mais on descend tout de suite sur 300 m dans le vallon nord, dans une neige de rêve qui ne s’est pas transformée. Bien sûr il faudra remonter les 300m, mais avec un picnic au milieu ça passe facilement. Belle descente, même si le versant sud est évidemment transformé, et tout le monde a réussi à préserver ses skis des méchants cailloux tapis sous la neige. On a cru que Matis ne mangeait pas bcp parce qu’il était pressé de repartir, mais en réalité il avait oublié son sandwich et n’a pas osé le dire. Du coup comme punition, c’est lui qui a payé le pot à la fin de la journée. Non quand même pas, c’était pour fêter son baptême MSR. Donc la moralité de la journée c’est qu’il faut sortir avec un nouveau pour boire à l’oeil, et qu’il ne faut pas croire la météo, ni les goélands bretons non plus (mais ça on vous l’expliquera à la prochaine permanence).
François

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Le grand Van

Mercredi soir pas moins de sept MSR avaient convenu d’une sortie au Recoin pour monter à la Croix de Chamrousse… et peut-être plus, si ça se présentait. Jeudi 5 décembre à 8h30, Catherine, Sylvie, Bruno, Gilles, Jean-Luc, Paul et moi (Marc Bertier) étions dans les starting blocks, mais nous avons attendu 10 petites minutes un huitième annoncé, mais jamais arrivé !

Dès les premiers virages de la route au-dessus d’Uriage, nous avons trouvé le soleil et nous avons démarré du Recoin, à skis, vers 10h. Montée agréable dans la station fermée en faisant attention aux dameuses. Vers la mi montée, Catherine a réussi à entraîner Paul dans le couloir de Casserousse. Après une petite hésitation, nous nous sommes retrouvés au début de la descente vers les Lacs Robert, destination Grand Eulier ou Les Vans, on verra le moment venu.

Quelques mètres au dessus des Lacs, nous repeautons en direction des Vans en laissant Marc (moi) marmonner qu’il n’ira pas bien plus loin que le col des Lessines où 3 d’entre nous chaussent les couteaux… par confort. Bon gré malgré nous arrivons tous les sept au grand Van (celui de gauche (Nord) !). Belle descente dans une neige quand même variable et même transformée par endroits ! Grand classique, Gilles et moi pestons (gentiment) envers nos compagnons qui ne nous ont pas attendus au col des Lessines… En fait, ils étaient un peu derrière !

Dernier repeautage pour retrouver le sommet de la Croix. Catherine et moi, nous aurions bien shunté une trentaine de m. de montée en passant par Casserousse, mais il était dit que nous découvririons la descente par la piste de Gabouriaux. Ce qui fut fait.

Retour aux voitures (15h), bistro et tutti quanti ! Enfin, tout bien après 1200m de déniv. une belle mise en jambe, non ?

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Collet d’Allevard

Nous étions quatre, ce matin, place des Tuileaux : Jean-François, Bruno, Eric (Trouvé) et moi (Marc Bertier). Départ dans les temps vers le Collet d’Allevard (station fermée) avec l’espoir que malgré la belle météo prévue, ce serait moins la cohue des randonneurs qu’à Chamrousse ou à Prapout’. Nous sommes montés jusqu’au Collet sous les nuages et même qqs flocons, puis tout s’est dégagé dans la montée au super Collet. Ambiance magnifique, mais la neige avait visiblement pris la pluie jusque vers disons 1800m. Au sommet de la station, sur l’excellente inspiration de Eric, nous avons continué sur le faux plat légèrement montant jusqu’au sommet des Plagnes et là, après avoir dépeauté, nous avons plongé sur presque 300m de dénivelé, plein nord dans une belle poudre face au Grands Moulins. Après il a fallu remonter ! Et là, comme j’ai sérieusement trainé, JF a refait les 100m du haut, quelle forme éblouissante ! Puis casse croute au soleil, mais le froid nous a poussé à ne pas nous éterniser ! Pour la descente, nous sommes passés dans le classique hors piste sous le télésiège sans problème. Retour à la voiture, et nous avons retrouvé la crasse à l’altitude où nous l’avions laissée ! Retour aux Tuileaux vers 16h.

Belle journée ! Et cette fois, nous avions un paparazzi avec nous (Bruno). Des photos devraient donc suivre !

Et voilà les (superbes) photos de Bruno. Merci bcp !

Croix de Chamrousse

Compte rendu écrit par Marc Berthier et mis en ligne par Carine

Comme convenu, nous nous retrouvons place des Tuileaux vendredi matin. Nous sommes cinq mais Philippe (Bensa) a convié un ami qu’il doit prendre à Gières. Nous partons donc à deux voitures. J’aurais pas eu à mettre le coffre de toit si j’avais su ! Depuis l’an dernier je suis estomaqué par le fait que les rendez-vous fonctionnent aussi bien et aujourd’hui comme plusieurs fois l’an passé, nous partons … un peu en avance sur l’horaire ! C’est super. La route vers Chamrousse est bien dégagée sur une longue partie, mais dans les derniers quelques kms avant Casserousse, c’est moins propre, mais sans problème.
Nous choisissons de partir de Casserousse, mais nous ne sommes pas les premiers. Dès nos premières centaines de mètres, nous croisons déjà des skieurs qui en finissent. Ils ont été courageux pour se lever et à eux la poudre ! La montée se déroule sous un ciel limpide et dans un cadre enneigé enchanteur. Mais dès la moitié de la montée, lorsque nous rejoignons le soleil, je commence à traîner un peu et deux groupes de trois se forment. À l’arrivée à la Croix, nous ne traînons pas trop en raison des nappes de brouillard qui montent vers nous. Pour la neige, il doit y avoir 25 cm de fraîche sur la sous-couche de la semaine précédente. Faut quand même faire gaffe : vers la fin de notre montée, un skieur a déclenché le glissement d’une plaque pas si petite que ça et par endroits des cailloux montrent le bout de leur nez. Pour la poudreuse de rêve, c’est clairement un peu tard, plus de cinquante personnes ont déjà labouré le terrain, mais la neige est quand même douce à souhait. Après avoir traversé un banc de brouillard, nous retrouvons l’autre moitié du groupe qui a tenté de trouver un passage encore vierge, mais sans trop de succès je crois. Quelques virages encore et nous voilà aux voitures.
Belle séance de démarrage de saison, mais un compte rendu fleuve bien disproportionné ! Zéro pointé pour les photos.
Carine, Paul, Richard, Philippe (Bensa), JP (son copain), et moi (Marc).

Petit Van

 

Aline Philippe Richard Jean-François

 

Au secours de Richard en cette fin de semaine, nous avons répondu à son appel à prendre l’air entre 2 nuages …bien persistants en ce moment .

Un timing serré pour ceux qui bossent et doivent être au top pour 14 h au boulot…

Départ 7 h des Tuileaux pour la croix et probablement les Vans.

Pas très engageant à Casserousse coté neige, du coup départ de Recoin skis au pied, qq randonneurs,  10 tout au plus. Pas de regel mais une petite chute nocturne à partir de 1800 m

Descente par la piste des lacs Roberts, et choix du petit Van pour profiter …eh oui de la poudreuse de la nuit sur les 400 m de descente jusqu’au col de Leyssine.

Retour à la Croix par   les lacs Roberts au vu du brouillard,

Descente sur la piste  très bonne au début, un rien lourde au milieu, bien tassée en bas … finalement pas si mal.

Le tout pour un retour à la voiture à 12 h 05 ; soit il faut bien le reconnaitre  5 minutes de retard  …

Mélange de nuages légers,   de soleil, de paysages de Belledonne  très enneigés permettant des tests photographiques pour le nouveau tel d’Aline.

 

http://meylan-ski-de-randonnées.fr/galerie-photos/belledonne/nggallery/belledonne/Petit-Van

 

Grand Sorbier

 6 mai 2019 avec Bruno et Richard

Atmosphère hivernale au départ de Casserouse avec du vent en prévision sur les crêtes mais un beau ciel bleu. On chausse dès le parking et la végétation est poudrée comme en janvier ou février, neige légère et bien froide : il fait encore – 4°C. Un peu de hors trace avant le lac des Pourettes mais on retrouve vite le droit chemin. Aux lacs Robert tout est immaculé et quelques randonneurs qui se dirigent vers les Vans. Nous prenons la trace du grand Sorbier faite par un randonneur qui nous indique qu’au fond du vallon il y a eu un départ de plaque. Effectivement il y a de belles corniches sur les crêtes à gauche l’une d’elle à dû se décrocher dans un couloir et a entrainé une plaque. Nous poursuivons en nous tenant sur la droite Bruno trace dans 20 cm de poudreuse. Le décor est magnifique et l’ambiance féerique ; nous sommes seul au monde. Nous nous arrêtons un peu sous le sommet bien à l’abri du vent, c’est somptueux. Le temps de déguster notre plaisir quelques randonneurs nous rejoignent. Un petit coup de farte pour Bruno qui botte et c’est la descente, au delà du régal, on voudrait que ça ne finisse pas. Il y a la pente la neige d’hiver l’ambiance haute montagne  un ciel tout bleu et tout cela début mai ! Bon les bonnes choses on une fin et l’on se retrouve aux lacs Robert dans le brouillard qui est monté à notre rencontre, c’est gentil mais fallait pas. Changement d’ambiance pour la remontée à la croix de Chamrousse   dans la purée et vent dans le dos : ambiance hiver. Au sommet, le temps de savoir ou l’on se trouve et de s’orienter on attaque la descente sans visibilité et le vent dans le nez sur une calotte de glace qui recouvre la station jusqu’en bas ! Çà change après la poudreuse du sommet, bon en cherchant bien on trouve ça et là quelques plaques de neige fraiche  pour se détendre un peu. On déchausse au parking, un petit arrêt ravitaillement au bar du casino d’Uriage sous le soleil retrouvé. Une bien belle journée que je ne suis pas prêt d’oublier. Un grand merci à Bruno pour la trace et ses belles photos.

Photos

Grande Lance de Domène

Grande Lance de Domène
20 avril Florence, Maxime, Bruno, François, Jean-François

 

Petite affluence en cette veille de pâques. La proposition de Florence de la grande Lance de Domène avec son fils semble une belle occasion d’aller chercher de la hauteur pas loin. 20 malheureux petits kilomètres.

Sandrine nous confirme que le secteur, certes déneigé du parking en sortie de forêt, reste agréable.

Reste à donner une heure de départ…. 6 h , négociation et pression pour 6h30, le temps de l’inscription sur le cahier…. Mais Florence tient la pression et va pour 6 h.

Parti à 6 h des Tuileaux , démarrage à 6h45 , 45 minutes de marche à  pied,  retour à la voiture à 12h 45 et chez Margot (et son Terreneuve) à 13 h… le bon , très bon timing

Un  trajet en Mercedes … de la place , un chauffeur agréable  mais  un véhicule dont toutes les portes  ne s’ouvrent pas .

Une belle acrobatie de Bruno qui n’attache pas ses skis (pensant sûrement qu’il y aurait de la poudreuse) ; il en perd un en dessous du glacier    dans une conversion et sur une neige bien dure . Jour de chance,  le ski s’arrête dans les rochers après 100 m de dénivelé et pas dans le lac du loup 300 m plus bas … sur ce coup-là  Bruno n’a pas le temps de faire une photo.

A noter qu’une demi-heure après le même Bruno  perd aussi un bâton.

Un montée vers le glacier de la Sitre (avec couteaux, puis sans couteaux,  puis avec couteaux  puis ….)   nous permet  de valider la descente parfaite quasiment jusqu’au lac du Crozet, moquette à dire d’expert.

Un choix minutieux du bar par Florence avec 2 conditions : bière à la pression et vue sur la Grande Lance.

Quelques photos

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