le ski autrement

Catégorie : 2018-2019

séjour MSR (G)

à Arêches, dit « les guenilles »
 
1er jour :

Avec le forfait randonneur, départ du haut des remontées mécaniques à 2 300 m, puis montée au Col de la Forclaz (2540 m) (tu es sûr du nom ?), redescente sur le col de la Louze (2119 m) et les lacs des tempêtes (2050 m), un petit crochet sous la pointe de Comborsier (2400 m), puis pause au chalet de Chizeraz (1986 m). Remontée au passage du Dard (2350 m), puis à la pointe du Dard (2489 m), descente sous la Légerette du Grand Mont vers 1900 m, puis remontée en haut d’une piste (2120 m) pour redescendre au refuge des Arolles (1900 m). Soit une bonne quinzaine de kms de randonnée et un dénivelé de 1 300 m avec le sac plein pour le séjour. Pas mal pour un séjour initialement présenté comme « petites balades de moins de 1 000 m » ! Ah, Paul, son enthousiasme et sa forme olympique

2ème jour :

Départ du refuge et montée au col de la grande Combe (2129 m), descente sous le col de la Bâthie en direction du chalet du Soufflet (1810 m), puis montée à la Pointe de la Grande Journée (2460 m) avec une arête sommitale … un peu aérienne, mais heureusement en excellentes conditions. Retour par le col de la Bâthie (1889 m). Soit 12 Km de randonnée et 1040 m de dénivelé.

3ème jour :

Descente dans la vallée, manip de voitures, départ depuis Le Mappaz, route de Saint-Guérin (1300 m). Montée au Col de la Charmette (2070 m), redescente de l’autre côté en face Est (1730 m) pour remonter au Col de Miraillet (2180 m) et redescendre sur le lac de St Guérin. Arrêt pique-nique devant un chalet à 1730 m, puis retour aux voitures. Soit 14 Km de randonnée et 1250 m de dénivelé.

 Des paysages magnifiques, et pas seulement à cause du Mont Blanc tout proche ou de la Pierra Menta ; une météo de rêve (certains prétendent qu’à un moment ils ont vu un débit (ou début ???) de nuage, mais cela devait être juste un peu de buée sur les lunettes). Côté descentes, on a eu le 1er jour une excellente poudreuse et les 2 autres, de la moquette grand luxe.

Nous étions basés au refuge des Arolles qui se trouve au milieu des pistes sans que cela ne soit gênant, et qui est bien confortable. Un très bon accueil, une bonne nourriture (raclette copieuse, lasagnes au beaufort)

Ça s’est tellement mal passé que l’on déconseille fortement à toute personne d’envisager de s’inscrire à ce séjour l’année prochaine … De toutes façons, y a plus de place … Ah zut, il n’est pas encore prévu 

Voici quelques bribes d’informations complémentaires tout à fait objectives et factuelles à propos de ces 3 journées pour que vous sachiez à quoi vous avez échappé !

Le 1er jour,

prise de contact avec Pierre notre « guide », encadreur CAF depuis de nombreuses années et un très bon cru. Sécurité, pédagogie, attention aux « maillons faibles », parfaite connaissance des randonnées et du coin … Par contre, lui s’est rapidement aperçu que l’on n’était guère « certifié CAF » et qu’il allait un peu souffrir pendant 3 jours. Ceci dit Paul l’avait prévenu : « fais gaffe, c’est des guenilles ! » … Et c’était vrai !

Cela a assez rapidement commencé avec Guy qui a perdu un ski au 1er télésiège. Ca a tout de suite rassuré sur la maitrise technique du groupe !
Ensuite, protocole de test des DVA : il y avait un dispositif proposé par la station. Chacun est allé se tester … même si Laurence a, dans un 1er temps, voulu essayer plus rustique avec un panneau de bois qui se trouvait quelques mètres à côté (et portait des indications de risque avalanche, ce qui explique la méprise).
Pierre a commencé à envisager de s’enfuir en courant mais son sens du devoir l’a emporté.

Puis il y a eu des vannes pourries du style : « Lac Tempête c’est là que ça pète », « 11h12 au col de la Louze » …

Puis Eric a fait sa chochotte en ne montant pas à la pointe de Comborsier, ce qui a permis à tout le monde d’admirer sa technique approximative et son matériel à la pointe de la technologie .. du temps des mammouths (pas les Mamut). Ensuite, Guy a ronchonné parce que la pause déjeuner était moins longue que ses 2 heures syndicales (il nous ferait presque croire qu’il lui arrive de travailler). Et du coup, Paul a pris un coup de chaud, car il n’avait pas eu sa sieste. Au final, on a quand même tous fini par arriver … à la fermeture des pistes, mais avant le coucher du soleil.
De toutes façons, on n’avait pas le choix car Jacques (le 2ème « local » du CAF) caracolait en tête avec un art de la négociation de la pente tout à fait comparable à celui de Jean-Michel au meilleur de sa forme : droit dans la pente ! Heureusement, la neige permettait à chacun de faire sa trace comme il l’entendait.

Paul s’est aperçu qu’il n’avait plus son téléphone, qui s’est avéré être resté dans la voiture, soi-disant à cause de Guy qui l’avait appelé (la mauvaise foi et la délation démarraient fort). Du coup, il a voulu nous faire croire qu’une certaine personne pouvait vouloir avoir de ses nouvelles (Incroyable comme il peut encore avoir des illusions !). Il a donc demandé aux personnes présentes si il pouvait appeler en donnant le numéro. Il a été très surpris de voir que la plupart des hommes présents avaient ce numéro déjà enregistré dans leur téléphone. Passons …

Et là, tout est parti en vrille : Paul a sorti le litre de Ti punch qu’il avait porté toute la journée, sans doute pour fêter son anniversaire très proche (NB : il a encore l’âge de lire Tintin mais de justesse).
A 5 (dont 3 meylanais que je ne nommerai pas ici par pudeur) ils ont bu la bouteille en une fois. Les teints ont viré au rouge, la parole est devenu bafouillis pâteux et les rires complètement fous. A noter, Guy sollicitant du rab en tournant son verre à peine vide devant la bouteille, Cheikh qui finit la bouteille en douce et Paul vérifiant avec un souci qui l’honore ( !) qu’il avait bien réussi la préparation.  On a bien ri, entre autres quand Pierre a commencé à confondre sa mère et sa femme ou quand Paul, devant la bouteille vide, a regretté de l’avoir partagée avec ces « p’tis cons ».  Voir photo ci-dessous.

Pour vous donner une idée de l’état de fraîcheur des troupes, Cheikh, sorti faire une photo du lever de lune, est revenu tranquillement en nous disant que son téléphone était parti faire du ski. Il lui avait subitement glissé des mains, sauté de la terrasse et était parti dans la pente entre des arbres vers une piste. Heureusement pour lui, le très sympathique gardien est parti à la recherche du téléphone avec sa motoneige avant le passage des dameuses … et incroyable, il l’a retrouvé.

Sans peur mais pas sans reproche, Cheikh a fêté ça en sortant sa gnôle, que les mêmes ont bien sûr goûté avec des commentaires allumés du style « tontons flingueurs ».

Comme ils enchainaient les références cinématographiques, Paul s’est retrouvé « templier comme Clavier ». Comprenne qui pourra.

Le Ti Punch et la gnôle devaient en effet être de qualité car la nuit n’a pas été trop mauvaise, mais le lendemain, le démarrage fut quand même un peu éprouvant pour certains.
Il faut dire que la très bonne et très copieuse raclette a bien aidé à éponger. Car en effet, au cas où cela vous aurait échappé, l’épisode Ti Punch était en fin d’après-midi ! Certains soiffards n’auraient pas pu attendre …

Le 2ème jour,

encore une très belle rando, heureusement plus courte. Notre groupe de « vieux » a mis la pâtée au groupe de jeunes qui faisaient la même balade (dont certains étaient arrivés la veille de Paris et dont l’un d’eux a nécessité des soins de pied en cours de route … ceci explique cela !). Eric, fidèle à son tempérament risque-tout a courageusement laissé le reste du groupe faire la fin de l’arête. La descente fut 
excellente et comme on était redescendus de bonne heure pour cause d’exposition Sud, nous avons fini par déjeuner sur la terrasse du refuge.

Grand confort, même si Laurence a regretté l’absence de plaid en vison et s’est consolée en commandant des frites. On a eu l’impression que d’autres se nourrissaient de bières …

 

Ensuite, il y a eu une pause dans les conversations, comme vous pouvez le voir sur la photo ci-dessous. Le machin au 1er plan n’est pas un tas de vêtements mais Guy en pleine action.

 

En fin d’après-midi, arrivée de Régine, la femme de Pierre notre guide. On nous avait bien dit qu’elle était plutôt discrète, donc son arrivée a été bruyamment saluée par tous. On est MSR ou on l’est pas.
Heureusement pour elle, il était prévu que les CAFiens redescendent chez eux pour la soirée et la nuit.

Diner relativement calme, d’où des questions sur le rôle perturbateur des CAFiens. Mais « quand même » (Paul aime dire que l’on n’est pas des « quand même »), cela ne nous a pas empêché d’apprécier les lasagnes qui étaient servies en quantité. Paul a bien apprécié ce qui a fait dire à quelqu’un qu’il devait sans doute reprendre des pâtes, car il est en phase de croissance ! il n’est jamais trop tard !!
Certains ont aussi tenu à faire admirer les skis d’Eric accrochés au mur : des skis en bois, à câbles et avec bâtons en bambou.

Il faut dire que dans l’après-midi, Eric avait emprunté les skis et chaussures de Philippe (merci à lui) et s’était retrouvé 200 m plus haut sans comprendre comment cela pouvait être possible que ce soit si facile.

Le 3ème jour,

descente matinale sur les pistes, retrouvailles avec nos CAFiens bien-aimés et départ dans une autre vallée, pour « une montée de merde » dixit Paul.

Neige bien dure et gelée qui n’a pas ralenti Jacques, mais a permis à Paul de se distinguer (une chute et glissade car volontairement arrêté là où il ne fallait pas ; mise des couteaux après coup ; perte d’un couteau dans une conversion foirée (merci à Guy qui est redescendu le chercher) .. comme quoi cela peut arriver aux meilleurs !!) mais sans être le seul : Cheikh a aussi perdu un couteau, s’en est aperçu après coup … et l’a quand même retrouvé … après le coup du téléphone, certains se sont interrogés sur les loisirs de madame ; Eric a laissé partir un bâton que Pierre a récupéré, tout en s’étonnant de son poids !

Très beau débouché sur une crête et joli aperçu de montgolfières dans un temps bien calme. Redescente de l’autre coté (face Est) sur du velours, remontée juste un peu gâchée par  quelques « bottages », traversée précautionneuse d’un passage pouvant risquer, puis bonne dernière descente.

Le pique-nique près d’un chalet permit de regrouper les vieilleries, puisqu’Eric était assis sur le toit d’une 4L qui émergeait à peine de la neige.

Conclusion de Pierre : le nouveau nom de MSR est donc MSRG 
              G commme ………..Grenoble ? 
              G comme …………..Grésivaudan ? 
              ou G comme………..Guenilles   !

Pointe de Roche Noire par le col de Cressua

 

Le 23 mars 2019 avec Paul C, Jean-Marie et Marieke

Une balade « découverte » dans la vallée de la Maurienne (merci skitour!) avec tous les ingrédients pour satisfaire notre groupe épicurien:  ambiance bucolique d’une forêt de bouleaux au départ, chalets d’alpage, petite chapelle croquignolette, un peu de pente au col  pour vérifier qu’on a encore un peu de souplesse dans les articulations, une belle corniche pour l’ambiance, une jolie arête et un vrai sommet… avec vue magnifique sur les sommets de la vallée des Villards … le tout pour un dénivelé modique d’à peine 800m.

Une neige variable sur l’arête puis moquette à poils longs ensuite (une panne d’oreiller d’un(e) participant(e) ayant retardé de départ d’un quart d’heure…)  ;

Une jolie découverte

voir les photos

 

 

 

Séjour Mont Thabor

Raid de 3 jours au Mont Thabor

Serge, Philippe B., Michel, Jean-François, Tof, Philippe et Laure G, Christine

Départ 10h30 Vendredi matin de Névache (1600m).

La pluie initialement prévue n’est pas au rendez-vous ce qui nous permet d’alléger nos sacs. Nous partons skis aux pieds mais nous  les retirons rapidement pour un court portage dès que nous commençons la montée le long du torrent du Vallon. Le vent soutenu déplace les nuages, brasse du grésil et laisse parfois quelques rayons de soleil filtrer. Nous trouvons refuge dans la Chapelle Saint Michel (2123m) pour se restaurer enfin à l’abri du vent. Nous atteignons le Col du Vallon (2645m) après quelques points GPS et sommes accueillis par de fortes rafales de vent !!! parait-il jusqu’à 100km/h !!! La descente sur la Vallée Etroite est rendue difficile par le manque de visibilité et un enneigement plein de surprises ce qui entraine un concours de chutes…Nous traversons des pentes boisées faiblement enneigées pour arriver enfin dans la quiétude du Refuge I Re Maggi.

Samedi : Le Mont Thabor (3178m)

Le ciel est dégagé et le soleil déjà présent mais Serge reste soucieux pendant le petit déj : neige absente ou gelée, vent !!! Pas top ces conditions. Nous partons sans grandes convictions d’atteindre le sommet du Mont Thabor.

Remonter de la Vallée Etroite par sa rive droite puis nous découvrons les énormes vagues de neige qui nous ont posé tant de problème la veille. Nous poursuivons l’ascension du Mont Thabor toujours accompagnés par ces maudites rafales de vent. Après le passage des goulets, un petit groupe gagne les larges pentes un peu dégarnies du Mont Thabor et remonte jusqu’à la chapelle « Notre Dame des sept douleurs » sommitale (3178m). La descente se fait facilement dans une neige souple. Un régal après ces efforts. Certains y plongeront tête la première de bonheur !!!! ce qui nous donnera l’occasion de sortie la pelle pour rechercher les lunettes !!!

Retour au Refuge I Re Maggi où règne  une animation digne d’un samedi soir… Repos, Discussions marines autour de boissons rafraichissantes bien méritées.

Serge nous avait vendu une randonnée pour 1200m, probablement qu’un rehaussement des Alpes est survenu pour nous entrainer 200m plus haut !!! Total 1400m

Dimanche : Retour Névache

Soleil, ciel bleu et enfin plus de vent !!! Oui mais voilà c’est la fin de notre tour. Nous changeons d’itinéraire par manque de neige. Nous redescendons sur les pistes de ski de fond pour rejoindre un chemin à flanc de montagne qui nous mène jusqu’à la route du Col de l’Echelle. Passage des 2 tunnels, puis nous traversons le plateau jusqu’au col de l’Echelle (1762m). Redescente sur la route rapidement  déneigée ce qui fera le bonheur de certains pieds malmenés !!!!

Ce beau et agréable séjour s’est terminé autour d’une pizza conviviale à Névache.

 

Photos Séjour Mont Thabor

Séjour Habert d’Aiguebelle 11-12 Mars 2019

Le séjour : Habert d’Aiguebelle et Cime de la Jasse les 11 et 12 Mars (initialement prévu sur 3 jours mais la météo ne nous a donné qu’une belle fenêtre).

La fine équipe :

  • Jacques, organisateur – chauffeur – encadreur – pédagogue …
  • Jean-Marie, la pipelette … mais dans des fréquences inaudibles
  • Olivier, qui rêve aux conversions aval
  • Yves, l’escargot … non pas à cause de sa vitesse de déplacement mais il transporte sa maison sur son dos
  • Eric, l’auteur de ce récit tout à fait objectif et réaliste bien sûr.

Nous partîmes dans la tempête dans un véhicule qui paraissait presque digne de Mad Max mais était beaucoup plus sagement conduit par Jacques.

A la fin de la route, après une petite marche d’échauffement, nous nous trouvons face aux restes impressionnant (très gros talus) d’une avalanche monstrueuse, même pour ceux qui connaissent cette avalanche classique, qui a fait beaucoup de dégâts (beaucoup d’arbres brisés, arrachés …)

Au même moment, nous voilà pris dans une tempête de burle, fort heureusement brève, et apportant peu de neige fraîche.

Surprise, une chenillette a fait la trace … c’est nouveau et ça change la montée par rapport au souvenir des lointaines années !

Arrivée sans problème au refuge, sauf que Jean-Marie et Yves envisageaient d’enchainer (involontairement) avec le Pas de la Coche car ils n’avaient pas vu le refuge. Heureusement Jacques veillait au grain et les a rattrapés. Le refuge est encore en cours de finition, et un peu rustique, mais tout à fait correct et le gardien, très sympathique et bien du coin, nous a très bien accueilli.

Le déballage du matériel a donné à une féroce concurrence entre la doudoune jaune de Jacques et celle déjà célèbre d’Eric traduisant un peu le désordre existant dans sa tête … voir la photo, après avoir chaussé des lunettes de soleil si vous êtes sensible.

Nuit confortable, sauf que l’accès aux toilettes se fait pour l’instant par l’extérieur et nécessite actuellement de remettre ses chaussures de skis. Pour les messieurs d’un certain âge comme nous … c’est dur !

Le lendemain, un réveil tranquille et une montée en douceur, entre accumulations de neige et plaque presque glacées … mais au final bien souple sous les couteaux que l’on a mis rapidement.

Jacques a été un peu traumatisé par le fait de passer à droite et non à gauche pour rejoindre les lacs du Vénétier mais s’est bien adapté.

Pour le ressaut final, Jacques a fait la trace que tous les randonneurs ont prise. Sacré titre de gloire: faire la trace pour la Cime de la Jasse un jour de grand beau temps ! … bon d’accord c’était une jour de semaine.

A regret, Yves a fini par laisser ses affaires de nuit sous le ressaut final. On a été un peu déçus mais bon … il est arrivé en haut !

Un magnifique paysage à 360°C avec la vue qui portait très loin (monts du Pilat, Jura Suisse, Pic de Bure …) mais le Mont-Blanc avait mis bonnet et cache col.

Une très bonne neige à la descente : soit fraiche sur 10 cm sur un support bien solide, soit la moquette de neige de printemps.

Une halte au refuge bien agréable où nous avons récupéré notre surplus, sauf Yves bien sûr, et pique-niqué au soleil.

Pour finir, le « boarder cross » du bas a été renouvelé par la chenillette et l’avalanche mais a été fidèle à sa réputation, avec heureusement juste ce qu’il fallait de neige.

Un retour tranquille, avec une partie à pied sur une route maintenant bien déneigée, même si Jean-Marie a tenu à se rouler dans la neige à la fin. Un score parfait, malgré le séjour écourté à cause de la météo. Une très bonne adresse et une idée à reprendre pour les futures années pour enchainer des classiques (Cime de la Jasse, Col de l’Aigleton, Pas de la Coche … et plus pour  plus montagnards).

Quelques photos …

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