le ski autrement

Mois : janvier 2025 Page 1 of 2

Grande neige au Grand Eulier

 

Marc Philippe D Philippe M Jean François

Grand Eulier 2232 m 900m D+

 

Une fenêtre météo à ne pas rater, des contraintes horaires pour l’heure de départ, pour l’heure d’arrivée… une destination fait consensus mardi soir à la permanence le grand Eulier et sur recommandation expresse de Marc l’aller et le retour par Casserousse et les pourettes .

 

Départ 8h15 des Tuileaux, arrivée au frigo de Casserousse pour un départ à skis à 9h. Philippe M tente sa première sortie MSR et il a fait …peau neuve.

Entre 20 et 40 cms de fraiche tombée cette nuit. Seul le passage des ruisseaux au sortir de la piste sont délicates. Une montée tranquille, à un rythme nous semblant soutenu sauf quand on se fait doubler quelquefois voire laisser sur place par 2 jeunes pour le moins rapides et pourtant fort bavardes.

Philippe M s’adapte très bien à ce rythme et peaufine ses conversions.

Tout au plus 5 à 6 personnes en haut et on se lance dans la descente coté sud en faisant la trace dans une neige parfaite sans le moindre petit caillou mais pas sans la moindre chute. Pique-nique à la brèche nord, avant d’attaquer une descente par les pourettes bien agréable. Il faut bien le dire on ne croise personne ou presque (qq bidasses bien sûr).

13 h à la voiture, voila une affaire rondement menée, même si Philippe D en aurait bien refait une petite.

Un petit coup de gel là-dessus et une petite chute pour regarnir, ce serait parfait.

Séjour au Habert d’Aiguebelle (24-26/01/2025) – Saison 7, photos

JOUR 1

JOUR 2

 

JOUR 3

Séjour au Habert d’Aiguebelle (24-26/01/2025) – Saison 7, ép. 1/2

Martine B-W, Pierre W, Yves C, Ludovic C, J-François M, Marc B.

Les conditions météo n’étaient pas très favorables, mais nous nous sommes régalés…

Jour 1, ven. 24 : La Dent du Pra 1 – MSR 0

Départ des Tuileaux à 8h30. Il a plu assez haut ces derniers jours et les prévisions ne sont pas très riantes. Du parking de l’Olagnerie (fin officielle de l’accès en cette saison) jusqu’au dernier parking d’été, la route est noire et il y a donc une petite demi-heure de portage. On chausse à la prise d’eau du Muret et atteignons le habert d’Aiguebelle sous un ciel finalement dégagé ! Après avoir posé qqs affaires, nous poursuivons dans des conditions inespérées. Comme les journées suivantes ne s’annoncent pas sous le meilleur jour, nous envisageons une tentative vers la Dent du Pra par les Lacs de Vénetier. A l’approche de ceux-ci, Yves, Pierre et moi laissons Martine, J-François et Ludovic se lancer dans l’ascencion du couloir. Ils « tricottent de belles conversions » dans la pente soutenue, mais la partie exigente est plus longue qu’il n’y paraît et peu après qu’ils n’aient quitté notre champ de vision, ils remettent au lendemain la première de Ludovic et J-François à la Dent du Pra.

Nous nous retrouvons dans la descente pour le retour au Habert. Neige bien meilleure que nous ne pensions.

Sieste, Tarot, Uno, repas et dodo.

Jour 2, sam. 25 : La Dent du Pra 1,5 – MSR 0,5

Hier soir, les indications sur la météo du jour n’étaient pas très détaillées et pas terribles… et notre discussion est restée très informelle, trop ! Si bien que l’on démarre vers 9h (je crois) sans objectif très clair (Ouh, que c’est mal !) : Col de l’Aigleton pour commencer et après ? -ben, faut voir !- peut-être descendre 300m sur le versant Est à remonter ensuite ; ou bien nouvelle tentative vers la Dent du Pra depuis le col de l’Aigleton, grande classique qu’aucun de nous n’a déjà faite (sauf probablement Martine, il y a bien longtemps mais il y a prescription !) avec des passages réputés raides.

Montée vers le col de l’Aigleton

Après une petite hésitation levée grâce aux traces oranges « rando hivernale » récemment diffusées par Fondation Petzl sur Iphigénie, nous trouvons une belle trace qui part plein Nord au ras d’un premier rocher à contourner. Les deux premières conversions sont… « exigeantes » et il y en aura un bon nombre à enchaîner dans deux assez longs passages bien raides. En revanche, nous sommes maintenant au soleil et le vent est moindre, ça aide un peu (ou du moins ça ne complique pas !).

Les 2 passages raides entre Col de l’Aigleton et Dent du Pra

Nous arrivons finalement au point de bascule où l’on rejoint la montée depuis le vallon de Vénetier. Le sommet n’est plus qu’à 100mD+, mais nous ne nous y engageons pas. Disons « Partie nulle » pour aujourd’hui !

Les tenants de « la pause pique-nique à tout prix » ne l’emportent pas en raison du vent pas glacial, mais prononcé, et nous redescendons jusqu’au Habert en profitant de nouveau d’une neige pas très abondante mais très agréable.

Bis repetita : Sieste, Tarot, Uno, repas et dodo.

Jour 3, dim 26 : une journée d’exception

Hier soir, la sortie du jour a été mieux préparée. Prévisions météo dont la précision nous laisse perplexes : le vent doit se calmer dans la nuit et une chute de 15cm de neige est attendue, suivie d’une matinée de grand beau avec retour du vent (et iso 0° à plus de 2000m paraît-il !!!). Tout cela se révèlera strictement vrai, sauf l’iso 0°. Nous prévoyons de passer au petit déj avant les 25 personnes du groupe Schneider. Bien nous en a pris ! Car le « Sas d’entrée » avec une trentaine de personnes préparant leur départ, c’est chaud ! Mais ça s’est bien passé. Ma mauvaise idée de ne « pas démarrer avant 9h » a heureusement été abandonnée et nous sommes partis vers 8h30, presque les premiers dans le vallon. Nous avons un peu tracé dans une neige magnifique, avant de trouver les traces de 2 ou 3 personnes plus matinales qui ont bifurqué vers le Pas du Pin pour les uns, vers la Dent du Pra pour les autres. Nous avons à nouveau un peu tracé puis retrouvé une magnifique trace de montée au Col de la Jasse, en plein soleil.

Peu après celui-ci, en direction de la Cime de la Jasse, nous avons retrouvé beaucoup de vent et des rafales limite tempétueuses. Comme nos deux devanciers, nous avons décidé de ne pas poursuivre et, magnifique surprise, ils sont retournés vers la Bédina, nous laissant le soin d’ouvrir toute la descente. Seul un nouvel arrivant qui venait de nous rejoindre, nous a précédé mais sur un couloir plus raide. Sans mentir, il a descendu les 250m en moins de 30 secondes et pas plus de 4 ou 5 virages peu prononcés !!!

Et là, ça a été le festival ! à 6 dans la pente, nous avons tout tracé sur 50m de largeur, pendant que « tout Grenoble » montait en ribambelle presque continue.

Et v’la l’travail ! Toutes les traces de descente sont de MSR, à l’exception notable de celle du couloir central (voir texte)

Même chose dans la suite de la descente. Au passage, nous avons croisé Arnaud et Armelle. Arrivée au Habert vers 11h (je crois !). Pique-nique au chaud… et retour aux voitures à ski jusqu’au bout !

Col d’Emy – 19/01/2025

Maud A, Christine C, J-François M, Bernard D, Philippe, X, Y, Marc B.

Pour mémoire : Départ des Karellis, vent fort au col et un chauffeur (moi) nous fait friser la panne sèche !

Col de la Flachère – Le 14-01-25

Participants : Bernard, Jean-François, Jean-Luc et Guy

Nous quittons les vallées froides et grises pour percer le plafond de nuages vers 1200 m. Les températures sont encore fraiches au départ de Saint-François-Longchamp, même si les mushers se plaignent d’un temps trop doux !

Montée facile à l’ombre avant de rejoindre le soleil quelques centaines de mètres avant le col de la Madeleine. Après le col, une traversée en dévers nous oblige à mettre les couteaux (enfin pour ceux qui ne les ont pas oubliés …). Heureusement le portage sera court pour l’étourdi qui préfère déchausser plutôt que de risquer une glissade dangereuse. Puis on redescend pour rejoindre le vallon de la Rave que l’on remonte jusqu’au col que l’on voit de loin, mais que l’on n’a pas encore bien identifié. Il est à gauche de la Tour de la Flachère qui, elle, est bien identifiable. On dépose une couche, puis deux, puis trois; Il fait chaud, très chaud même !

Pique-nique au sommet avant d’engager la descente qui est très bonne jusqu’à 2100 m environ. Ensuite on skie sur une couche très dure, voire glacée. Côté St-François, on prend d’abord les pistes, puis Jean-François et moi tentons le hors-piste qui est très variable, bien que le bas soit étonnamment bon.

Une très belle randonnée que Jean-François nous a fait découvrir. A conseiller sans modération.

Le Grand Rocher

Le Grand Rocher par grand froid, grand brouillard, pas grande neige mais chaude ambiance au refuge

Aude Véronique G Christine Jean-luc Bernard D Francois Philippe G Jean- Francois

650 m Bera 1

Pas beaucoup de sortie possible au vu d’un BERA 4 le samedi, et de grosses incertitudes pour le dimanche coté Bera.

Finalement sortie dimanche, le BERA sera à 4 à compter de 2100 m et …1 en dessous. Le grand rocher se présente bien … a priori, ce sera la première sortie pour certain. On croit ferme au début de l’anticyclone prédit par toutes les météos et à la petite chute de la nuit.

Départ 8 h des Tuileaux , Skis au pieds au foyer de fond à 9h dans le brouillard. Tout est blanc, mais la quantité reste très minime et très vite on s’inquiète pour la descente entre le chalet de Pierre Roubet et le foyer de fond. Clairement à part à pied, cela ne passe pas.

Montée tranquille en croyant trouver le soleil…. Et ben raté. On dépeaute vite fait et Bernard (comme toujours bien inspiré) propose le retour par le refuge et la descente par la piste du Téléski de la croix. On entame la sortie skating (très adaptée au vu de la météo) non sans se perdre un peu en dessous du crêt Luisard.  Mais Aude veille et nous remet sur le droit chemin avec la trace.

Cela nous permet de lui expliquer la notion de guenille… réservée aux anciens du club, qu’il ne faut pas suivre aveuglément !

On s’arrête au refuge, -10 au thermomètre à l’entrée ! Arrêt bienvenu pour une boisson ou un plat chaud, avec de forts sympathiques bénévoles.

La descente se fera par la piste fermée, excellente sur la première moitié avec 5 cms de poudre sur fond dur. Un rien trop gelée sur le bas. Le choix de la piste était vraiment le bon choix, même s’il nous faudra faire un petit bout de route à pied pour rejoindre la voiture.

Bon choix …sinon on serait descendu par la piste de fond histoire d’amortir le forfait … de skating.

PS Un petit essai radio nous confirme que les formations proposées par Jean Luc sont encore nécessaires … A suivre vendredi 17 !

 

Objectif les Vans plus de choix possible

Grand Van 2445 m D+ 1100 m Bera 3

Marc B Bruno Bernard D Francois Jean-François

Bernard toujours vigilant sur la météo glisse un message sur wattsap lundi soir. Ce n’est pas parce qu’il fait 14 à Meylan qu’il ne va pas neiger cette nuit. Bingo 15- 20 cms de neige nous attendent.

Va pour un départ des tuileaux à 8h30 et un départ de Bachat Boulou, Bernard avait réservé la place qui va bien et qui évite de prendre les 50 m de sens interdit pourtant si tentant.

On monte à la croix à un bon rythme avec plein de jeunes tous habillés pareils. Et on en croisera toute la journée, même au bar de la croix. Autant se le dire pas un chasseur alpin n’était en caserne ce jour… tous aux vans. Deux participants du jour se sont rappelés cette période militaire un rien imposée que les moins de … ans ne peuvent pas connaitre !

Nous voila dans la descente et on profite du vallon des Escombailles depuis de col de la botte dans une neige exceptionnelle. On repeaute au petit lac.

Le premier raidillon au col de Leyssines n’a rien d’agréable pour cause de cailloux … tout partout. Après la montée se passe parfaitement dans une neige qui semble parfaite.

Il nous arrive de doubler qq bidasses, d’en croiser, de se faire doubler mais ils sont tous de bonne humeur.

Au sommet on se regroupe sous les ordres des gradés marc (autoproclamé capitaine) et Bernard organisateur, Francois radio, Bruno éclaireur.

Même si on ne va pas se plaindre …la neige n’est pas si facile à skier avec un fond changeant sous une poudreuse légère.

On repeaute pour la croix et on repose les jambes sur les pistes pour un retour à Bachat Boulou vers 14 h 30.

Un bon enneigement, certes avec qq cailloux et ce depuis 1600 m. Une  belle sortie même si on a croisé beaucoup de monde pour  un mardi !!!

Rocher de Chamoux 1980 m (photos)

voici en plus qq photos prises lors de la randonnée

Ludovic

Rocher de Chamoux 1980 m

 

Ludovic, Thomas, Francois, Jean-François

D+ 940 Bera 2

Un peu de motivation collective a été nécessaire pour ce dimanche. Pluie annoncée la nuit, journée grise et qq éclaircies possibles en fin de matinée, vent du sud violent …. Il y avait de quoi refroidir les retraités !

La petite équipe formée vendredi soir à la permanence a trouvé les ressources, boostée par Ludovic et Thomas lors de nos échanges pour se convaincre d’aller dans le Vercors sud et le secteur des rochers du Parquet.

Départ 8h des Tuileaux, quasi à pied d’œuvre à 9h 15.

Une préparation cartographique soignée, Francois et Thomas ont les topos. La radio est bien sûr dans le sac, c’est parti depuis le parking de l’acrobranche plus proche de la patinoire que d’un parking enneigé.

On remonte dans le lit du ruisseau des Pelas… et on rate (enfin je rate) la bifurcation pour le ravin des Chauvines.

Un moment de doute plus haut ,quand la pente se raidit, nous incite à sortir les écrans pour constater qu’on n’est pas sur la trace.

Francois nous informe qu’il a bien pris la radio … pas l’antenne

Le vent du sud se lève

Rien ne va plus !!

Mais non avec flegme, méthode, technicité, organisation on se fait une petite tangente et qq conversions dans le pentu pour retrouver le droit chemin. On remonte jusqu’au pas des Bachassons dans un rien de courant d’air.

On vise le rocher de Chamoux où on est accueilli …ou presque par 3 bouquetins.

Petite descente pour trouver un coin de piquenique un peu protégé du vent.

La descente se fait par le pas de la Selle ou les 50 premiers mètres sont délicats avec qq cailloux. Ensuite une première partie pentue mais agréable avec une neige en train de s’humidifier. Après on passe en mode sanglier mais avec une belle quantité de neige partout après avoir contourné le rocher de la Piche et profité du majestueux mont aiguille au-dessus de nos têtes.

14h 30 à la voiture, 15 h au bar à Gresse pour clôturer la journée. Belle journée, pas que du grand ski certes, de grandioses paysages du Vercors sud

Objectif : les Vans ou l’embarras des choix – 4/01/2025

Sortie avec Jean-Michel, Bernard, Patrick et Aline.

A la permanence de vendredi, les discussions vont bon train au sujet de la météo pas terrible et aléatoire pour le week-end. Vaut-il mieux sortir samedi ou dimanche ? A la Scia, aux Vans ou aux Rochers du Parquet ? L’embarras des choix, surtout pour moi. Au final, une sortie samedi avec comme objectif les Vans, si la météo, comme souvent, est pessimiste, une dimanche, dans le Vercors, aux Rochers du Parquet.

Après moult réflexions en soirée, je me décide pour les Vans avec Jean-Michel, Bernard et Patrick. Départ 7h30, un peu plus tôt que d’habitude pour tenter les Vans avant l’arrivée du mauvais temps. Heureusement que je suis à l’heure, car les gars allaient partir sans m’attendre, croyant que j’avais choisi les Rochers du Parquet.  Mais c’est ma faute, je n’avais pas envoyé le petit sms qui va bien, mea culpa.  C’est pour me faire pardonner que je fais le CR. 😉  Surtout, que bons princes, comme je suis là et que j’ai déjà fait 2 fois la Scia, on ira à Chamrousse. Merci les gars !

Autre choix encore à faire : d’où on part ? De Casserousse ou de Roche Bé ou de Bachat-Bouloud ? Allez, on a encore le temps de se décider, se mettre d’accord dans la voiture, dit Jean-Michel. On opte à l’unanimité pour Casserousse.

On chausse avant 8h30 avec quelques autres jeunes randonneurs. Il fait grand bleu mais pas chaud comme toujours à Casserousse. La piste est un vrai billard, fraîchement damée. La montée par les Pourrettes se passe sans encombre, sur une neige froide donc douce, si ce n’est qu’on se fait largement doubler par  des collants-pipettes, pratiquant sûrement le ski-alpinisme, qui causent du muesli potion magique qu’ils ont avalé avant de partir.

On débouche à la Brèche Nord avec le soleil, c’est bon pour le moral ! Même si on ne se leurre pas, le mauvais temps arrive derrière nous. La traversée sur les lacs Robert avec les peaux (mais comme d’hab.)  n’est pas tout confort car un peu gelée. Et hop, on enchaîne avec la montée au col des Lessines qui paraît bonne. Un petit doute pour moi quand je vois des skieurs qui ont déchaussé, mais il s’avère qu’ils descendent, penauds, ne sachant pas que cela ne se fait pas par ici.

Au col des Lessines, un petit vent s’est levé mais surtout cela s’est bien « bâché », comme disent les pros. Du coup, certains.es ont des doutes sur l’intérêt de monter aux Vans, si c’est pour descendre sans visibilité. Conciliants, les plus motivés, se rangent à la prudence avec un lot de consolation : redescendre du Col de la Botte sur le vallon des Enchaugailles ( ??? Je savais que j’allais oublier le nom), enfin la combe qui descend du côté du Lac Achard. La neige a l’air bonne, on y va tous les 4 et on ne regrette pas.  Certes, il faut repeauter. Ce que fera une 2ème fois le plus « affamé », Patrick, pour essayer de l’autre côté ; car une fois de plus on avait hésité entre les 2.

On se retrouve en haut du télésiège des Lacs Robert pour un très bref pique-nique pour ceux qui ne l’ont pas oublié. On attaque la descente de l’Olympique Dame (après avoir hésité avec l’Olympique Hommes, Ouf, ce sera le dernier choix !) sous un petit grésil, qui ne dure pas. Comme dit Bernard, on skie sur une piste « à l’ancienne », avec bosses un peu gelées,  pour finir par la piste de Casserousse qui n’est plus un billard en neige froide comme ce matin, ayant chauffé un peu. Arrivée au parking à 13h30. Chouette une 2ème journée s’annonce !

Aline.

 

Page 1 of 2

Fièrement propulsé par WordPress & Thème par Anders Norén